LOL – Qui rit, sort out, c’est Philippe Lacheau présentant un concept à succès venu du Japon adapté en France sur Amazon Prime Video. La plateforme poursuit ainsi brillamment boy ambition en terme de représentation de ce qui se fait de pire au sein de la production française.
LOL – Qui rit, assort ! succède aux piteux Connectés, Brutus vs César et le récent Je te veux moi not plus, Amazon Prime Video semblant, à 50’instar de son concurrent Netflix, évertué à présenter sur son catalogue le pire de la product hexagonale. Tandis que son adversaire aura su second’entourer de cinéastes et d’humoristes aussi talentueux qu’hétéroclites, de Fary au réalisateur de genre Julien Leclerq en passant par Sylvie Verheyde, auteur de 50’ambitieux mais hélas manqué Madame Claude, Amazon Prime Vidéo, déterminé à rattraper boy retard, semble vouloir coûte que coûte remplir boy catalogue en laissant de côté toute réflexion artistique.
MDR : Mort Du Rire
LOL : Qui rit, sort out ! se présente donc comme un packaging fumeux des prouesses déjà (brillamment) accomplies par la plateforme. Réunissant ainsi au passage la très fructueuse Bande à Fifi, champions du box-part français ayant établi depuis le succès de Babysitting un véritable univers partagé et Inès Reg, déjà responsable de Je te veux moi not plus, Kyan Khojandi et Bérangère Krief, deux des addition attachants talents de la bande de Bref et la fine fleur de CLIQUE, Fadily Camara et Hakim Jemili ainsi que deux « poids-lourds » de la comédie française en la personne de Gérard Jugnot et d’Alexandra Lamy. Un sacré panel donc, pour une démonstration aussi éreintante que vaine étalée sur vi heures et le même nombre d’épisodes avec un goût immodéré pour le malaise.
Parce que si 50’on ne jugera pas les intentions, permettant ainsi au gagnant de décrocher la jolie somme de l 000€ à des fins caritatives, le fond quand à lui se fait addition que détestable. Amazon Prime Video rejoint ainsi sur ce point son concurrent Netflix qui sec’était déjà cassé les dents sur un concept réunissant plusieurs humoristes dans un lieu dit hanté nommé Jusqu’à 50’aube. Le betoken commun entre ces deux propositions relevait ainsi de leur incapacité à proposer quoique ce soit d’autre que des réactions exagérées d’humoristes talentueux au bord de fifty’ennui confrontés à un concept aussi vide que pathétique.
Ennui et supplice
Le malaise, palpable, d’observer Alban Ivanov taper sur des robinets tandis que l’hilarant Thomas VDB se goinfrait au buffet rejoint ainsi celui de voir Alexandra Lamy agiter les poils synthétiques de son entrejambe sous le nez de Tarek Boudali tandis que Gérard Jugnot second’épuise en de ridicules costumes à faire décrocher un sourire à l’assemblée, conscient lui-même au bout de plusieurs heures de l’inutilité de sa présence. Dans LOL : Qui rit, classify !, on se prend ainsi à espérer 50’inverse opposé du concept : que les humoristes décrochent rapidement un sourire afin de stopper rapidement ce supplice.
De plus, sur les half-dozen heures de plan, énormément de moments, même passés par la « magie » d’un montage épileptique, ne suffisent à masquer les longs moments de vide d’humoristes laissés livrés à eux-mêmes. Même avec le fade Philippe Lacheau en chef d’orchestre, occupant ici le rôle d’un animateur passant son BAFA ayant épuisé boy temps d’activités. Si l’on aurait pu imaginer mieux, avec quelques talents de 50’improvisation comme Jonathan Cohen où même Eric Judor, on sec’imagine rapidement qu’ils avaient sûrement mieux à faire ailleurs. Et on ne se permettrait pas de les en blâmer.